LexisNexis® Bankers Almanac® Enhanced Due Diligence vous offre un accès facile à un logiciel moderne de connaissance du client (KYC). Réduisez votre charge de travail manuelle et automatisez, standardisez et améliorez votre processus d'évaluation des risques.
La mise à niveau de vos processus vers cette application est facile. Les clients peuvent simplement se connecter et se familiariser rapidement avec l'outil.
Avec l'application Enhanced Due Diligence, vous pouvez créer un rapport d’obligations de vigilance KYC en moins de 10 minutes, contenant tous les documents et les données à examiner. Vos analystes KYC peuvent utiliser leur temps pour se concentrer sur l'évaluation du risque de la contrepartie.
Lorsque vos rapports et processus d’obligations de vigilance KYC sont normalisés, vous êtes mieux à même de prouver que vous adoptez systématiquement une approche fondée sur le risque pour évaluer les contreparties financières.
Les rapports finaux ainsi que les copies des documents examinés et les pistes d'audit complètes sont automatiquement sauvegardés sur le cloud et peuvent être facilement téléchargés, ce qui permet aux responsables de la conformité de fournir rapidement des preuves de toutes les actions.
Concentrez votre temps sur l'accès au risque, et non sur la collecte d'informations. Cette solution crée des rapports KYC standardisés contenant des documents et des données, notamment le questionnaire AML, la licence bancaire, l'USA PATRIOT Act, le questionnaire du groupe Wolfsberg, etc.
Les tableaux interactifs de propriété et de personnel clé aident les analystes à décortiquer rapidement les entités et à repérer les risques. Les entités peuvent être automatiquement passées au crible des données, des documents et des outils de filtrage :
Bankers Almanac Enhanced Due Diligence place les informations et les documents dans une structure de rapport claire et facile à comprendre. Donnez à vos analystes les ressources et le temps nécessaires pour se concentrer sur la question la plus importante de votre organisation: "Devrions-nous faire affaire avec cette contrepartie financière?"